La série réalisée pour le 111 des Arts de Paris se termine par cette œuvre de feu. Après une série de 3 productions plus minimalistes, j’avais envie d’un rendu plus énergique, plus fort avec une travail à nouveau de forme qui se découpent du fond par la trace noire.

J’aime ce jeu visuel à plusieurs lectures. Il s’agit de trouver un équilibre afin qu’entre la trace et la figure laissée par le vide, il n’y ait pas de parasitage dû à la prééminence de l’un sur l’autre.

C’est alors à la personne qui regarde de faire son choix. Souvent, ce n’est pas conscient. A l’instar de ces jeux visuels qui montrent, suivant celui qui le regarde, une jeune femme ou une vieille femme.

C’est une façon de ne pas confondre le travail de la trace noire avec une recherche pseudo-calligraphique bien loin des préoccupations de ma recherche artistique.

Pas de signes mais des figures interrogeant.